When the new regulations governing the Quebec Language Law went into effect in June 2022, it was like a hurricane rushed across Canada’s corporate landscape. Ever since, CEOs and marketing professionals have been unsure of how to put the new legislation into practice, resulting in many legal consultations in attempts to understand the updated law.
En plus de la Charte de la langue française, la mise en œuvre du projet de loi no 96 a modifié 200 règles, dont la Loi constitutionnelle de 1867, la Charte des droits et libertés de la personne, le Code civil du Québec et la Loi sur la protection du consommateur.
Il y a manifestement beaucoup de choses que les dirigeants d’entreprise doivent comprendre.
Law firms representing companies in Consumer Packaged Goods (CPG) industries are currently busy interpreting the new law, which leaves some questions unanswered. Let’s take a closer look at trademark restrictions and their effects on public signage, posters, commercial advertising, product packaging and labelling.
L’Impact du Projet de Loi NO 96 Sur Les Marques de Commerce
Jusqu’à récemment, les cabinets d’avocats avaient tendance à conseiller aux propriétaires d’enregistrer leurs marques de commerce anglaises (ou dans une autre langue que le français). Cela permettait l’utilisation exclusive de marques non françaises dans la conception de panneaux d’affichage, d’affiches, d’étiquettes d’emballage et d’autres publicités. C’était idéal si la marque anglais était universellement connue ou si des limites de conception empêchaient l’utilisation des marques anglaise et française.
However, beginning in June 2025, one key change to Quebec’s language laws will be that a recognized non-French trademark needs to be registered with the Canadian Intellectual Property Office (CIPO) to qualify for the exception from requiring a French trademark. This pertains to public signage, posters, commercial advertising, packaging, and labelling. Further, no corresponding French version of the trademark can be registered to qualify for this exception.
Autrement dit, si vous avez une marque de commerce déposée en français, vous serez bientôt légalement tenu de l’utiliser dans vos efforts de marketing au Québec.
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Ces changements auront une incidence importante sur la façon dont les entreprises utilisent les marques de commerce dans la publicité commerciale, l’emballage des produits, l’étiquetage et l’affichage public, ce qui affectera les services de marketing.
Par conséquent, les avocats conseillent activement à leurs clients qui sont des sociétés d’évaluer toutes les marques de commerce qu’elles détiennent. De plus, il faut tenir compte de tout terme générique ou descriptif utilisé sur les produits ou sur les affiches et les enseignes publiques extérieures. Cela aura un impact incroyable sur les ressources internes, et peut-être même sur l’approvisionnement, alors que les entreprises revoient leurs emballages de produits et leur matériel publicitaire.
While many of these new restrictions won’t go into effect until June 2025, the registration process of trademarks can take up to 36 months.
If you haven’t yet started the process, you’re already behind.
Sachez Comment la Loi Influe Sur Le Marketing ET la Publicité
Rarely is legislation concerned with the specifics of design. However, Quebec’s Bill 96 is explicitly clear about the specifications required for billboards, business advertisements, and public signage. For these materials, the French text must occupy twice as much space as the English text, and letters and font size must be twice as large. English display elements cannot reduce the French version’s visual impact.
Les cabinets d’avocats sont reconnaissants de cette limpidité. Ces règles concrètes fournissent une base sur laquelle s’appuyer pour conseiller les services de marketing et de publicité.
Toutefois, cette clarté n’est pas uniforme. De nombreuses questions demeurent sans réponse au sujet de l’emballage de produits.
Les Règles D’Emballage Des Produits Sont Encore Nébuleuses
Bien que la loi soit remarquablement claire quant à la façon dont le français doit être appliqué aux enseignes, aux affiches et à la publicité commerciale, elle n’est pas claire quant à la façon dont le français doit être appliqué aux emballages.
Le contenu français doit-il occuper le même espace que les marques non françaises ? Ou, comme les publicités, le contenu français doit-il être deux fois plus imposant ?
If the latter, what impact will that have on companies? The potential expenses could be far greater than new trademark registrations and marketing salaries – inventory may need to be repackaged to satisfy the ambiguous law.
In contrast, the law precisely lays out the criteria for signage, public posters, and commercial advertising. Before the recent changes, a trademark could be shown in English on a sign, poster, or commercial advertisement that could be seen from the outside of the premises, provided that the French trade name’s addition of generic or descriptive terms had a “sufficient” presence. However, the new law now requires that the French text used in conjunction with a non-French trademark be “markedly/clearly dominating” in comparison to the mark.
Simply, the French text must have a far greater visual impact than the English text when used on signs, posters, and commercial advertisements. But, unfortunately, we’re still unclear on product packaging.
Step carefully when building your strategy here and, if you haven’t, seek legal counsel for support.
Would You Like to Learn More? We Have You Covered…
Considering the precise design requirements for signage, posters and commercial advertisements, it is somewhat unusual that the law leaves packaging and label rules so vague. The new law offers some straightforward directives while also some ambiguities that allow for interpretations requiring legal fanaticism—and that is what makes the practice of law intriguing.
Vous voulez en savoir plus ?
Visionnez notre webinaire Pardonnez mon français ! Adapter le marketing et les marques de commerce au projet de loi no 96 et apprendre comment les experts de Baker McKenzie et d’Unilever Canada gèrent le projet de loi no 96.
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Du contrat à la formation des employés, le projet de loi no 96 a touché à peu près toutes les facettes d’activités des entreprises québécoises. Les chefs d’entreprise mettent à jour leurs stratégies alors que les équipes de traduction doivent composer avec une charge de travail sans précédent.
C’est pourquoi de nombreuses équipes ont adopté Alexa Translations A.I.
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